[REVUE DE PRESSE] Petites notes poétiques d'Éric Dubois par Ghislaine Lejard 4 février 2015 – Publié dans : La revue de presse

Retrouvez l'article sur Terre à ciel. Merci à Ghislaine Lejard. Une trilogie poétique Radiographie, Eric Dubois, L’inadvertance, publie.net En cette poésie, flotte un air de nostalgie et la difficulté de vivre s’y exprime : « avons-nous vraiment l’insouciance d’un jour ! ».Le poète se pose une question essentielle : « dire / comment dire ! ».La poésie d’Eric Dubois est une poésie du questionnement et les poèmes sont là, consolateurs : « on a besoin de mots » « des mots comme des cataplasmes ».Le poète sait partager ses…

Continuer la lecture

Via & Vers, c'est l'écart qui captive : une lecture de Pierre Ménard 5 décembre 2014 – Publié dans : La revue de presse

Article originellement publié sur Liminaire. Nathanaël Gobenceaux, Mathilde Roux et Rémi Froger nous proposent avec Via & Vers une poétique de la signalisation, une signalétique de la direction, traversée de l’espace, de l’inventaire inventif et détourné d’un territoire, dans l’accumulation de ses signes, un carnet de voyages dont les images se focalisent sur le panneaux indicateurs et leur pouvoir évocateur, flèche comme des oriflammes, porte-drapeaux, « des marques de reconnaissance, des drapeaux, des frontispices », leur invitation…

Continuer la lecture

Versatilité de notre mémoire à l'ère du numérique : MacGuffin, une lecture de Pierre Ménard – Publié dans : La revue de presse

Article originellement publié sur Liminaire. Le MacGuffin c’est l’élément moteur qui intervient dans le développement d’un scénario, d’une histoire. C’est presque toujours un objet matériel, généralement mystérieux, sa description est vague et sans importance. Le principe date des débuts du cinéma mais l’expression est généralement associée au cinéaste Alfred Hitchcock, qui l’a redéfinie, popularisée et mise en pratique dans plusieurs de ses films : « Dans les histoires de voleurs c’est presque toujours le collier, déclare-t-il, et…

Continuer la lecture

[REVUE DE PRESSE] Thomas Galley lit le premier tome de La Saga de Mô 21 octobre 2014 – Publié dans : La revue de presse

Une chronique aux mots aussi percutants que le sont ceux du livre : merci (encore) à Thomas Galley que vous pouvez retrouver ici sur son site. L’été avec ses Lectures estivales, c’est déjà presque de l’Histoire ancienne, mais voici que l’automne commence sur les chapeaux de roues avec un texte superbe que nous devons à la plume de Michel Torres et aux ambitions éditoriales de Publie.net, éditeur de renom et de qualité qui s’est lancé dans…

Continuer la lecture

[REVUE DE PRESSE] Nous sommes des tumbleweeds ballotés dans les mots de Virginie Gautier, une chronique de Sylvain Damy 11 septembre 2014 – Publié dans : La revue de presse

Merci à Sylvain Damy pour cette très belle chronique et cette si juste lecture. Retrouvez cette chronique parmi d'autres ici-même. En faisant de son lecteur le tumbleweed qu’elle décrit au détour d’une déambulation, Virginie Gautier le fait voyager sans contrainte géographique ni temporelle. De cette langue sensible qui nous avait tant émerveillé dans Les yeux fermés, les yeux ouverts (éditions Le chemin de fer, 2014), elle convoque toutes les facettes d’une ville. Cette ville multiple,…

Continuer la lecture

Ma mère est lamentable, de Julien Boutonnier | un texte comme une peau arrachée 24 août 2014 – Publié dans : La revue de presse

C’est un texte extrêmement pentu, qui descend dans les zones mentales les plus troubles, où la mort et le deuil se mêlent à la colère, au sexe, au vulgaire, au confus et à l'étrange, dans une remarquable levée des censures intérieures. C’est un texte qui nous ouvre, nous débloque, liquide nos défenses, quelle que soit notre blessure propre. Il fore juste, il fore précis, il fore implacable, dans les couches profondes du rêve et du cri impuissant. Par la voix,…

Continuer la lecture

[REVUE DE PRESSE] La Saga de Mô, une plongée dans la couleur du Midi 3 juillet 2014 – Publié dans : La revue de presse

Merci à Thierry Crouzet pour cette belle critique. Retrouvez son article ici. La plupart des auteurs aspirent à une prose blanche, dans la lignée de Camus. Elle exige épuration, inlassable travail de nettoyage avec visée minimaliste. On entre chez d’autres, plus rares, plus précieux, comme dans un arc-en-ciel, immédiatement conscient d’être chez eux et nulle part ailleurs. C’est ce que j’ai ressenti dès les premières lignes de La Saga de Mô, de Michel Torres. « Au-devant d’une…

Continuer la lecture

[REVUE DE PRESSE] Éric Dubois, Mais qui lira le dernier poème ? 22 juin 2014 – Publié dans : La revue de presse

Merci à Jad Seif. Retrouvez l'article originel ici. — Publié en 2011 chez Publie.net, Mais qui lira le dernier poème? d'Eric Dubois s'inscrit dans notre époque et la cerne. La problématique principale du recueil, c'est l'écriture poétique; mais tout en s'interrogeant sur l'écriture, le poète questionne le monde et ses propres craintes - le poète est écriture. Le dernier poème dont il est question dans le titre, ce n'est pas le dernier poème du recueil,…

Continuer la lecture

[REVUE DE PRESSE] 46 villes, bourgs & autres lieux, de Nathanaël Gobenceaux – Publié dans : La revue de presse

Merci à Isabelle Pariente-Butterlin. Retrouvez l'article originel ici. — Comme des cartes postales. Des cartes postales sans les images. Elles sont dans les phrases et dans notre esprit. Parfois d’ailleurs elles coïncident. Des cartes postales sans le kitsch. Juste avec l’urgence de dire. Et de garder une trace de son passage quelque part dans le monde. De faire signe, des lointains qui seront un jour les lointains de la mémoire. Alors avec le livre, 46 villes,…

Continuer la lecture

[REVUE DE PRESSE] Ma mère est lamentable, de Julien Boutonnier – Publié dans : La revue de presse

Merci à Isabelle Pariente-Butterlin. Retrouvez l'article originel ici. — La vie est un mouvement. Julien Boutonnier met les phrases en mouvement ; il part d’un rêve, et rejoint le réel dans Ma mère est lamentable, ou part du réel et rejoint la vie, ou part de la mort et rejoint la vie, il part de la nuit et rejoint d’autres rivages, il voyage, entre New-York et Mazamet, entre deux représentations du monde, entre le désespoir et l’espoir.…

Continuer la lecture