[NOUVEAUTÉ] Aujourd'hui Eurydice, Claire Dutrait 25 avril 2018 – Publié dans : Notre actualité

Eurydice et Orphée, c'est maintenant, c'est-à-dire aujourd'hui. Dans ce premier roman que leur consacre Claire Dutrait, du collectif Urbain trop urbain, intitulé Aujourd'hui Eurydice, le récit découle autant de la matière mythologique que de l'opéra de Monteverdi qui résonne à chaque page. L'histoire est connue : Orphée part en quête d'Eurydice au-delà de la mort pour tenter de la ramener vers la vie. Mais ici, le mythe prend la tournure d'une fable écologique, et Orphée traversera des enfers…

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[REVUE DE PRESSE] Nadine Agostini : Histoire d’Io, de Pasiphaé, par conséquent du Minotaure, sur Diacritik 8 février 2018 – Publié dans : La revue de presse

Merci à Jean-Philippe Cazier pour sa belle lecture, à retrouver sur Diacritik Le titre du livre de Nadine Agostini, Histoire d’Io, de Pasiphaé, par conséquent du Minotaure, peut résonner avec Histoire d’O de Pauline Réage/Dominique Aury, comme il peut être phonétiquement entendu comme « histoire d’Yo », « histoire de Je » (Yo en espagnol). D’Histoire d’O, on pourrait retrouver le personnage féminin, soumise à un désir masculin hétérosexuel et désireuse de ce désir, autant esclave que jouissant. Ainsi Io, objet sexuel…

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[NOUVEAUTÉ] Mélancolie des données, de Philippe Maurel 7 février 2018 – Publié dans : Notre actualité

La collection l'esquif poursuit son exploration des formes poétiques contemporaines avec un nouvel opus que nous sommes heureux de vous présenter. Après le road trip déclamatoire de Sébastien Ménard (Notre désir de tendresse est infini au printemps dernier) et la réinvention des mythes par Nadine Agostini cet automne (Histoire d'Io, de Pasiphaé, par conséquent du Minotaure), dont vous pouvez lire l'excellente chronique de Jean-Philippe Cazier sur Diacritik, c'est au tour de Mélancolie des données de Philippe Maurel de rejoindre notre catalogue.…

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[REVUE DE PRESSE] Métamorphoses d'ovidés : Nadine Agostini sur Junkpage 5 décembre 2017 – Publié dans : La revue de presse

Merci à Julien d'Abrigeon, un article à retrouver ici. Après Ariane et Pénélope dans Un autre Ulysse, les deux édités chez Contre-Pied, Nadine Agostini replonge sa vie dans celles des héroïnes grecques avec Histoire d’Io, de Pasiphaé, par conséquent du Minotaure chez la toujours originale maison d’édition Publie.net. Une fois encore, Agostini joue avec le « je », le mêle au « elle », passe de l’un à l’autre – les déesses vivant sa vie,…

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[NOUVEAUTÉ] Histoire d'Io, de Pasiphaé, par conséquent du Minotaure, de Nadine Agostini 22 novembre 2017 – Publié dans : Notre actualité

Après Ariane et Ulysse (via deux courts textes parus aux éditions Contre-Pied respectivement en 2015 et 2011), Nadine Agostini s'est penchée sur Io, Pasiphaé et le Minotaure dans un livre d'une étonnante générosité mais aussi d'une grande finesse. Il paraît aujourd'hui dans notre collection de poésie L'esquif. Merci à Virginie Gautier et Jean-Yves Fick pour leur travail sur ce texte qui rend honneur au coup de cœur soudain qui nous a tous saisi à notre découverte du manuscrit.…

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[REVUE DE PRESSE] Nadine Agostini sur Sitaudis 17 octobre 2017 – Publié dans : La revue de presse

Merci à François Huglo pour cette chronique à retrouver sur Sitaudis. Oublions Phèdre, la janséniste. « La fille de Minos et de Pasiphaé », c’est aussi Ariane, la demi-sœur du Minotaure. Et c’est celle qui écrit, qui dit et dit « elle dit » : « je suis le labyrinthe / la pers. qui écrit elle nous vole la vedette elle veut à notre place monter sur le podium elle dit / je suis le lab lab le labo du la…

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[REVUE DE PRESSE] Nadine Agostini : une Histoire d'Io sans nuance de gras – Publié dans : La revue de presse

Merci à Jean-Paul Gavard-Perret pour cette chronique à retrouver sur Le Littéraire. Nadine Agostini, Histoire d’Io de Pasiphaé par conséquent du Minotaure Sans nuance de gras Nadine Agos­tini n’en a pas fini avec les mythes. Il faut dire qu’ils ont la vie dure. Aussi après Ariane « sa sœur » comme aurait dit Racine, et tout en la retrou­vant, elle va du côté d’Io, Pasi­phaé et mine de rien vers le Mino­taure sans minau­der. La sudiste en rien…

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