[REVUE DE PRESSE] Lieux, de Daniel Bourrion, lu par François Bon 16 avril 2018 – Publié dans : La revue de presse
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Continuer la lectureMerci à Claire-Neige Jaunet pour cette chronique à retrouver sur Mobilis. Daniel Bourrion nous installe, avec la belle prose poétique de Légendes, au cœur de ce qui nous donne une identité : la langue et la mémoire. Lecture par Claire-Neige Jaunet. Légendes, de Daniel Bourrion, évoque, dans une belle prose poétique, ce que peut être la perte de la "langue première" et son remplacement par une autre, apprise par nécessité, et venant gommer "les mots…
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Continuer la lectureArticle à retrouver ici, merci ! En nouveau Jonathan Swift, François Bonneau mesure en « MILLIMÈTRES » les distances qui unissent (ou séparent) les hommes et leurs mondes. Avant de révéler son visage humain, et son indomptable propension à la transgression, il se sert d’une métaphore extrêmement rationnelle et frôle les frontières inaccessibles du calcul infinitésimal pour revendiquer le naturel heureux de chaque existence, l’exiguïté des destins humains que contredit la force irrépressible de l’amour… J’ai découvert…
Continuer la lectureMerci beaucoup à Juliette Cortese pour cette chronique à retrouver ici. Certains font du surf, attendent la vague, patiemment. Daniel Bourrion attend la métaphore. Et quand elle arrive, il la prend, s'y tient debout longtemps, la phrase pour planche, toujours en mouvement, gardant l'équilibre sur les aléas, jusqu'à ce qu'elle l'emmène le plus loin possible, jusqu'à ce qu'elle aille mourir sur le rivage, dans un flux et un reflux de mots nouveaux. On le suit,…
Continuer la lectureMerci beaucoup à La Viduité pour cette chronique à retrouver ici. — Derrière le prétexte d’un retour sur les lieux de son passé, un homme ausculte les strates de ses souvenirs, l’intime géographie d’une topographie fantomatique. Dans ce très court et dense livre, méditation davantage que roman, Daniel Bourrion nous happe dans ses questionnements sur le temps et les espaces de la mémoire. Un récit saisissant et grave. Prévenons mes lecteurs, il faut accepter de…
Continuer la lectureMerci à Jean-Philippe Cazier pour sa belle lecture, à retrouver sur Diacritik Le titre du livre de Nadine Agostini, Histoire d’Io, de Pasiphaé, par conséquent du Minotaure, peut résonner avec Histoire d’O de Pauline Réage/Dominique Aury, comme il peut être phonétiquement entendu comme « histoire d’Yo », « histoire de Je » (Yo en espagnol). D’Histoire d’O, on pourrait retrouver le personnage féminin, soumise à un désir masculin hétérosexuel et désireuse de ce désir, autant esclave que jouissant. Ainsi Io, objet sexuel…
Continuer la lectureChronique à retrouver sur GlazMag, merci Gwenaëlle ! — Il ne sait pas précisément pourquoi il est parti. Mais enfin, ça y est, il est là, dans les Causses, sur la plateau du Larzac, en plein hiver. Une amie lui prête une yourte pour un mois. Il arrive, s’installe, et au fil d’un journal, détaille ce qui fait son quotidien. Dans ce récit d’une expérience vécue, Fred Griot fait le choix de se raconter d’une…
Continuer la lectureMerci à Julien d'Abrigeon, un article à retrouver ici. Après Ariane et Pénélope dans Un autre Ulysse, les deux édités chez Contre-Pied, Nadine Agostini replonge sa vie dans celles des héroïnes grecques avec Histoire d’Io, de Pasiphaé, par conséquent du Minotaure chez la toujours originale maison d’édition Publie.net. Une fois encore, Agostini joue avec le « je », le mêle au « elle », passe de l’un à l’autre – les déesses vivant sa vie,…
Continuer la lectureMerci à Charybe pour cette belle chronique à retrouver ici. Une citadelle convalescente et mélancolique, une superbe tranche de littérature indicielle et poétique. Voilà cinq semaines que je suis enfermé. La quarantaine généralisée prend fin à midi. J’ai reçu une lettre de R. Les épidémies qui ont touché la ville dernièrement l’ont remplie de terreur. Sa grand-tante est presque morte dans ses bras un matin, avant de ressusciter au souper. Les murs de la citadelle…
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