Notre désir de tendresse est infini
Atmosphère fiévreuse et exaltée des grands départs, désirs puissants d’horizon, de bitume et de sentier forestier encore inconnu (...), abandon de convenances qui n’en devient pas pour autant une fuite, vers des oiseaux ivres ou autres : Sébastien Ménard communique cela au plus intime, et distille avec véhémence une contagion d’une force rarissime.
Si la poésie de l'auteur est une poésie du départ, donc du mouvement, elle est aussi une poésie des campements, de la halte au milieu d'espaces, saisis à travers des images fixes, comme les personnages d'une crèche.
Entretien vidéo avec Michel Torres à la Part de l'ange... à regarder ici ... et audio sur radio Aviva durant la dernière Comédie du livre de Montpellier à écouter là
Des fantômes sous les arbres
Christine Jeanney présente quelques nouvelles de Virginia Woolf qu'elle a traduites dans Des fantômes sous les arbres :
La marque sur le mur
Le temps passe (avec extrait audio)
Le symbole
Un roman non écrit
Ce qu'il faut
Ce qu'il faut, c'est faire ce qu'il faut
Commentaire d'une lectrice bouleversée et conquise par Ce qu'il faut de Corinne Lovera Vitali à lire ici
L'écriture ne dit pas Je : entretien avec Juliette Mézenc, Frank Smith et Jean-Philippe Cazier sur DiacritikMagma
Faisant s'entrechoquer les temps, l'auteur propose ici une percussion d'images cacophoniques au style très pur, qui émeut sans tomber dans la mélancolie.
L’auteure a pris connaissance de l’histoire tragique d’Ali et Ramazan, en 1992, à travers des articles parus dans les médias et, frappée par la façon homophobe, discriminatoire et méprisante dont cette « information » a été traitée, elle s’est donnée le devoir d’écrire le roman Ali et Ramazan inspiré de leur véritable histoire.
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