On croit vivre.
Il suffit d’un rien parfois pour que la vie bascule.
Et la chute irrémédiable qui s’ensuit.
Les voit-on autour de nous, tous ces corps tomber ?
Femme à la nature morte dessine le portrait d’une femme qui, un matin, décide de ne plus subir.
C’est le portrait de Lisa, mouton égaré parmi les loups.
Et le sort qu’on lui réserve au troisième millénaire.
C’est un portrait tracé à partir de ce que Lisa raconte, a préféré taire ou inventer, et que le narrateur tourmenté se rappelle, imagine, échafaude.
C’est la reconstitution d’une double chute.
et d’une seule rédemption.
Ce serait une fiction.
Peut-être.
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