État des mondes selon Jägere Thomasson : lancement d'un site dédié à l'univers des livres d'Olivier Le Deuff 18 mars 2015 – Publié dans : Notre actualité – Mots-clés : , , , , ,

L'univers imaginé par Olivier Le Deuff foisonne de références à l'actualité et s'intègre parfaitement dans une dimension SF presque dark. L'auteur est également professeur en DUT Infonum (information numérique dans les organisations) à Bordeaux. Certains de ses étudiants — Amarilis DORTA, Brann ETIENNE, Anne-Laure MESGOUEZ, Natacha ROGLET — ont mené à bien la création d'un site à la patte résolument transmedia qui explore et augmente l'environnement créé par Olivier Le Deuff. En construction permanente, la ligne du site — que l'on attribue à Jägere Thomasson lui-même, le journaliste enquêteur et héros des aventures de Dance into the Cloud, La désindexée et Print Brain Technology,  est celle-ci :

Journaliste lanceur d’alerte depuis toujours, j’écris pour TLON. Dans ce journal, nous cherchons à traiter les questions liées aux enjeux de la société face à l’émergence de technologies en constante évolution. Argos domine dans le secteur de la recherche, dans l'accumulation de nos données, dans nos propres vies, jusqu’à impacter sur notre évolution. Jusqu’où ira donc Argos? Doit-on en avoir peur ? Le mieux est encore d’enquêter.

Découvrez, lisez, partagez !

Extrait du site : Le défi Cosmos Elevator : l'ambition d'Argos

Vous pensiez que le voyage spatial ne resterait que science-fiction ? Et bien détrompez-vous, Argos vous prouve le contraire avec son ascenseur cosmique.
Le projet Cosmos Elevator dirigé par le département aérospatial d’Argos est en cours.

Son financement très élevé a été l’un des inconvénients du projet, et la participation des citoyens a largement contribué à sa réalisation.
L’objectif du Cosmos Elevator est pour le moins ambitieux : construire un ascenseur jusque dans l’espace. Précisément, jusqu’à la station spatiale Earth qui serait gérée par l’International Aeronautic and Space Organisation (IASO).
Grâce à cet ascenseur, nous n’aurions plus besoin de lancer les navettes spatiales depuis la terre ferme, réduisant ainsi les coûts d’un tel lancement (carburants).

Le procédé de fabrication de l’ascenseur consiste en l’assemblage de tubes en nanocarbones formant une base solide. Ainsi, le câble de l’ascenseur resterait tendu grâce à la force centrifuge d’une accélération suffisamment élevée.
Ces techniques extrêmement complexes rassemblent les meilleurs ingénieurs et astrophysiciens du monde.
D’ailleurs, il se pourrait que l’ascenseur cosmique, initialement destiné à propulser le lancement de navettes, ait d’autres desseins. Sur le long terme, les chercheurs et ingénieurs prévoient de transporter des chargements via l’ascenseur, mais aussi des personnes.

Là réside toute l’ambition du département d’Argos : une équipe a été spécialement montée, annexe au département aéronautique et se consacre à l’élaboration de techniques et de structures spatiales spécifiquement adaptées à l’être humain.
Ce projet semble déjà symboliser la puissance technologique de nos jours, et les limites repoussées par l’humain.

RENDEZ-VOUS SUR LE SITE