L'épaisseur du trait | Antonin Crenn

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Quand votre maison n’existait que par intermittences, comment faisiez-vous des projets d’avenir ?

Le petit monde d’Alexandre, c’est son appartement, son quartier, son lycée, ses tableaux, ses amis. Mais il vit dans un Paris qui nous échappe, un Paris en deux dimensions tel qu’on peut le représenter sur un plan. Il s’en accoutume bien, même si la vie quotidienne de part et d’autre des pliures est parfois compliquée.

Pour autant, quelque chose brûle en Alexandre. Que peut-on attendre du monde ? Comment se situer dans un environnement sans horizon ? Dans une ville en mouvement instable, il s’en remet aux espaces et aux lignes de fuite pour faire l’apprentissage de sa propre ligne de vie. Adepte des formes courtes, Antonin Crenn réalise avec L’épaisseur du trait une aventure de grande ampleur. Dans la douceur et la sensualité des gestes, des regards, des architectures, il réenchante le thème du passage à l’âge adulte sous la forme d’un conte urbain à géométrie variable.

Poids 157.847 g
Dimensions 17.8 × 10.8 cm
Auteur

Antonin Crenn

Éditeur

éditions publie.net

ISBN numérique

978-2-37177-201-4

ISBN papier

978-2-37177-564-0

Nombre de pages

208

Date de parution 20190109

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Antonin Crenn est né en 1988. Il a grandi le plus souvent dans les Yvelines, mais aussi, un week-end sur deux, dans un rectangle compris entre la rue de Reuilly et le boulevard Diderot. Vit à Paris pour de bon depuis qu’il a fini de grandir. À l’école Estienne, étudie la typographie dans l’idée de devenir graphiste : s’intéresse à la forme des lettres (le noir sur le blanc) puis, de plus en plus, à ce que les lettres disent sur la page. À cette époque, commence à se promener souvent dans des plans de Paris — notamment des vieux plans, et spécialement du côté de la rue Vilin, pour savoir ce qu’il y avait là avant qu’il n’y ait plus rien. Un beau jour, il entre à la mairie de Paris (pour connaître encore mieux Paris, et pour gagner sa vie) d’abord comme graphiste, puis de moins en moins. Travaille notamment aux Espaces verts : trois années qu’il met à profit pour apprendre le nom des cinq cents parcs, jardins et squares parisiens. En parallèle, publie des premiers textes courts dans des revues (Papier Machine, la Femelle du requin, la Piscine, le Cafard hérétique) et ses premiers livres, où il est question d’herbes folles et de souvenirs d’enfance. Ses sujets de prédilection restent la forme des villes, les ponts de chemin de fer, l’amour, et toutes les choses qui mettent plus de mille ans à disparaître.

Son site : antonincrenn.com

Du même auteur

Passerage des décombres, nouvelle, éditions Lunatique, 2017

Les bandits, album illustré par Jérôme Poloczek, éditions Lunatique, 2017

Le héros et les autres, roman, éditions Lunatique, 2018