Vingt-cinq ans de traduction du grec, romans, nouvelles, récits, poésie, théâtre. Tout au long de ce parcours, à côté de moi puis dans l’ordinateur, un carnet où je prends des notes. Besoin de ces écritures pour réfléchir sur mon travail et progresser, mais aussi faire progresser les apprentis traducteurs dont j’ai la charge — puisque la traduction, on commence à le savoir, peut et doit s’enseigner.
Analyses, comparaisons, portraits, choses vues, lues, entendues, moments ordinaires ou extraordinaires, douleurs et bonheurs, ceci est une espèce de journal de bord s’adressant non seulement aux traducteurs eux-mêmes, mais à tous ceux qui écrivent ou qui lisent : lire, écrire, traduire, trois apprentissages qui n’en font qu’un. Le blabla théorique est ici réduit au minimum. Pas de traductologie, mais une approche par les sens, l’oreille, le toucher. De la musique avant toute chose…
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