[REVUE DE PRESSE] Sanguines : déambulation nocturne 31 janvier 2017 – Publié dans : La revue de presse

Chronique à retrouver sur Liminaire, merci Pierre ! Le premier roman de Gabriel Franck Laques, racontait l’histoire d’une rencontre entre un homme et une femme et de leur relation dans la ville qu’ils habitaient. Dans Sanguines qui vient de sortir chez Publie.net, accompagné du passage vers le papier de son livre Laques, paru en septembre 2015 on retrouve l’univers et l’écriture baroque de l’auteur qui dresse cette fois-ci le portrait de deux hommes, Janvier et Joseph…

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[REVUE DE PRESSE] Les longs silences, de Cécile Portier, chez Pierre Ménard 11 février 2016 – Publié dans : La revue de presse

Présentation du livre sur le site de Pierre Ménard : Liminaire. En février 2014, à la suite d’un burn out, Cécile Portier entre pour trois semaines en clinique psychiatrique. Pendant ce temps de soins, elle éprouve le besoin de noter les sensations qui la traversent, d’écrire ce lieu et ceux qu’elle y rencontre. Elle enregistre par l’écriture le flux des conversations, des sons, de ses propres pensées (« La pensée est-elle un organe ? Avoir mal en…

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Via & Vers, c'est l'écart qui captive : une lecture de Pierre Ménard 5 décembre 2014 – Publié dans : La revue de presse

Article originellement publié sur Liminaire. Nathanaël Gobenceaux, Mathilde Roux et Rémi Froger nous proposent avec Via & Vers une poétique de la signalisation, une signalétique de la direction, traversée de l’espace, de l’inventaire inventif et détourné d’un territoire, dans l’accumulation de ses signes, un carnet de voyages dont les images se focalisent sur le panneaux indicateurs et leur pouvoir évocateur, flèche comme des oriflammes, porte-drapeaux, « des marques de reconnaissance, des drapeaux, des frontispices », leur invitation…

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Versatilité de notre mémoire à l'ère du numérique : MacGuffin, une lecture de Pierre Ménard – Publié dans : La revue de presse

Article originellement publié sur Liminaire. Le MacGuffin c’est l’élément moteur qui intervient dans le développement d’un scénario, d’une histoire. C’est presque toujours un objet matériel, généralement mystérieux, sa description est vague et sans importance. Le principe date des débuts du cinéma mais l’expression est généralement associée au cinéaste Alfred Hitchcock, qui l’a redéfinie, popularisée et mise en pratique dans plusieurs de ses films : « Dans les histoires de voleurs c’est presque toujours le collier, déclare-t-il, et…

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Une ville vide, vue par Liminaire 15 juillet 2013 – Publié dans : La revue de presse, Notre actualité

Lire cette note de lecture sur le billet original. Merci à Liminaire pour cette riche et foisonnante chronique. [divider style="dotted" height="40px" ] Le retour n’est jamais le retour. Les mouches, toujours, et le feuillage. Sauf mention contraire, toutes les citations de ce texte sont extraites de La ville vide, de Berit Ellingsen, traduit par François Bon sur Publie.net. « Quand le film se termina sans la scène, il fut surpris. Il se rappelait chaque détail : les personnages,…

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