Ma mère est lamentable, de Julien Boutonnier | un texte comme une peau arrachée 24 août 2014 – Publié dans : La revue de presse

C’est un texte extrêmement pentu, qui descend dans les zones mentales les plus troubles, où la mort et le deuil se mêlent à la colère, au sexe, au vulgaire, au confus et à l'étrange, dans une remarquable levée des censures intérieures. C’est un texte qui nous ouvre, nous débloque, liquide nos défenses, quelle que soit notre blessure propre. Il fore juste, il fore précis, il fore implacable, dans les couches profondes du rêve et du cri impuissant. Par la voix,…

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[REVUE DE PRESSE] Ma mère est lamentable, de Julien Boutonnier 22 juin 2014 – Publié dans : La revue de presse

Merci à Isabelle Pariente-Butterlin. Retrouvez l'article originel ici. — La vie est un mouvement. Julien Boutonnier met les phrases en mouvement ; il part d’un rêve, et rejoint le réel dans Ma mère est lamentable, ou part du réel et rejoint la vie, ou part de la mort et rejoint la vie, il part de la nuit et rejoint d’autres rivages, il voyage, entre New-York et Mazamet, entre deux représentations du monde, entre le désespoir et l’espoir.…

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« cette voix dont la mélodie inaugurale et fracassante se révèle celle d’un maître » | Lionel-Édouard Martin à propos de Julien Boutonnier 27 mai 2014 – Publié dans : La revue de presse

Merci à Lionel-Édouard Martin, que dire ? Fin auteur, fin lecteur ? Merci ! Et retrouvez l’article originel sur le site du monsieur en question. À l’origine de ce qui m’apparaît, dans son registre propre et original (celui de la poésie narrative), un des plus beaux, puissants textes, et profonds, que j’aie lus depuis bien longtemps, se trouve cette « énigme » (le terme est employé) posée d’emblée (l’extrait est tiré du premier paragraphe) : « Un songe m’a visité.…

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De la poésie ! Un cri ! Ma mère est lamentable ! Nouveauté ! 15 mai 2014 – Publié dans : Notre actualité

Ma mère est lamentable, de Julien Boutonnier, ça y est, on y est. Croyez-moi, on l’a porté ce texte, on l’a travaillé, on l’a fait mûrir, on a cogité, on a modifié, transformé, recadré, redessiné, laissé s’envoler les envolées, laissé s’évader le cri, on a coupé, on a marché, vécu avec ce texte. Aujourd’hui, il est à vous, fin prêt, un peu timide aussi, peut-être un peu apeuré, car il se met à nu, le…

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