[REVUE DE PRESSE] La crise, de Joachim Séné, chez Emma lit 16 juillet 2018 – Publié dans : La revue de presse

Merci à Emmanuelle pour cette chronique de La crise que vous pouvez retrouver sur son site ici-même ! La crise est soluble dans le fascisme, et réciproquement. Dans ce texte, paru chez publie.net*  Joachim Séné nous parle de LA CRISE, qui nous parle d’elle-même. Partout. Détaillant notre quotidien et nos habitudes, nos groupes et nos fonctionnements. La récurrence de LA CRISE au fil du texte, presqu’à chaque ligne nous la martèle efficacement. Pourtant tout est juste, tombe à…

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[REVUE DE PRESSE] La crise, suivie de Je ne me souviens pas, lue par Charybde 5 décembre 2017 – Publié dans : Notre actualité

Article originel à retrouver ici, merci Charybde ! Justification capitaliste hypnotique et dystopie totale, scandées poétiquement en aphorismes libres et acérés. Sur la photo, LA CRISE C’EST CHAQUE FIN DE MOIS, le S de MOIS est effacé, ou écrit plus vite, moins fort. La crise c’est chaque fin de moi. Le S écrit en dernier, et soudain il n’y a plus de temps, le mur orangé par les lampadaires s’éclaire un peu plus : c’est une voiture qui approche, peut-être la police.…

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[NOUVEAUTÉ] La crise, de Joachim Séné 11 octobre 2017 – Publié dans : Notre actualité

En 2010, Joachim Séné écrivait La crise. Bien évidemment, elle est toujours là. On la rencontre un peu partout, il suffira de lever la tête. Presse, journaux télé, flux d'actualité, annonces gouvernementales... Jusque dans nos livres (lire absolument sur ce sujet le Journal de la crise de Laurent Grisel, dont le prochain volume paraîtra en début d'année prochaine, ou encore l'étonnant et hypnotique Je paie d'Emmanuel Adely, publié l'an dernier par Inculte). Ecrire ici que ce texte est plus que…

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La Crise de Joachim Séné 14 avril 2013 – Publié dans : La revue de presse, Notre actualité

On écoute la radio le matin, pour se tenir au courant des nouvelles du monde, et il y a ces mots qui reviennent, provoquent toujours les mêmes craintes, les mêmes énervements, les mêmes abattements. Ce sont de pauvres mots toujours utilisés à l’identique, à en devenir des clichés, notre imaginaire commun, refrains qui valsent, que les discours ambiants reprennent et ne mettent jamais en doute, car ce serait se mettre en doute eux-même. La machine…

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