Laques | Gabriel Franck

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Laques est l’histoire d’une rencontre. Premiers regards, échanges évasifs avant de s’étreindre, corps au défi de l’absence. Silence et stupeur, attirance et vertige, désir tremblant, gestes esquissés en secret, furtifs hérissements atomiques, en ondes aiguës. Attouchements et caresses, dans l’emprise des attentes, braises qu'on rallume d'un souffle, toutes les promesses d’un long parcours amoureux et les strates de son cheminement à force d'hésitations, errements, contradictions, découpés par un regard forcément fétichiste à force de fragmenter le réel.

« Chacune de nos entrevues était un événement, nous en avions décidé ainsi,nous ne savions pas quelle serait l’issue de l’histoire, mais nous savions avoir plus tard le temps de tracer les lignes, de chercher les rapports, de comprendre ou reconstituer à partir des épisodes le récit possible ou inventé de notre aventure, qu'il soit le même pour chacun de nous, ou désaccordé. »

Texte stroboscopique, récit en blocs, baroque, avec ses plis et ses labyrinthes, Laques est un roman lacunaire, qui se lit de manière non-linéaire et qui nous invite à voir le monde à travers un miroir brisé, dans un rêve éveillé, une « vie à peine rêvée ».

Auteur

Gabriel Franck

Collaborateur

Pierre Ménard

Éditeur

publie.net

ISBN numérique

9782371771246

ISBN papier

9782371774728

Nombre de pages

176

Date de parution 20170125

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Gabriel Franck habite Paris. — A appris à lire sur les panneaux de signalisation des villes, sur les onglets alphabétiques d’un répertoire de téléphone. Tout devint alors à déchiffrer. Depuis, l’écriture se sera révélée comme une composition, faite de messages aux coordonnées incertaines, sans intentions nettes, si ce n’est un certain trouble du discours. — Passage par de nombreuses et désertes salles de lecture, chambres, salles obscures ; c’était au temps d’un monde clos le plus souvent sur lui-même, à sonder les murs en tâtonnant. C’est une expérience qui reste : il fallait fuir par l’intérieur. — Saisi par la fiction et l’écriture, d’un seul coup, un matin lointain, sur l’impulsion d’un incipit tracé de la main d’un autre. — Cultive une passion étrange et tenace pour les trench-coats et autres vêtements de pluie, pour la prise de notes, la porcelaine, les sons qui se détachent dans les environnements silencieux, les arrondissements fantômes. Alors marche, et attend. — A écrit récemment une comédie plus ou moins drôle pour le théâtre ; en écrit une autre, plus ou moins drôle aussi. — Aime se confier à de complets inconnus, à des listes, incomplètes. — Hésite entre tout dire et ne rien dire. — Écrit, souvent la nuit, des proses, des nouvelles et autres textes sans identités fixes qui aboutissent, parfois, sur http://gabrielsf.net.